top of page

JOSE MARQUEZ

José Marquez est né le 28 décembre 1950 à Barcelone.

Il a quitté son pays natal en mars 1956 pour retrouver son père à Lyon.

Dès son plus jeune âge, il a choisi de devenir serveur et est devenu maître d'hôtel à l'âge de 30 ans, qu'il a exercé pendant près de 58 ans.

À l'âge de 68 ans, il a commencé à écrire et a ainsi créé

"Les tiroirs de ma mémoire", une biographie sur sa vie en tant que fils d'immigré.

Pour son deuxième roman intitulé "Le pardon et la grâce". Il a puisé dans des morceaux de conversations entendues dans ses souvenirs d'enfance ce qui l'a inspiré pour l’écrire.

Le troisième roman, "Les Ramblas se jettent à la mer", il a également puisé dans ses souvenirs et a effectué des recherches pour donner plus de réalisme à son récit.

José Marquez a toujours lutté pour réussir dans tout ce qu'il entreprend. Aujourd'hui, il se lance un nouveau défi avec sa passion pour l'écriture et compte réaliser ses projets avec persévérance et conviction.

20230313 -  LES RAMBLAS SE JETTENT A LA MER.jpg

Les Ramblas se jettent à la mer est un mélange entre réalité et fiction, avec en toile de fond l'Espagne natale de José Marquez divisée par la guerre. Des milliers de républicains provenant de toute l'Espagne se dirigent vers la frontière française pour survivre. Francisco Valdivia Ruiz en fait partie, il veut réussir. Faut-il renoncer à l'espoir de construire une société espagnole ?

LE PARDON ET LA GRACE.webp

Lolita, fille de paysans vivant à Campillo de Arena, province de Jaén, n'a que 15 ans lorsqu'elle quitte sa famille pour devenir la servante des Calderon de Montiel, à Grenade. Élevée entre les oliviers et les champs de céréales, ne sachant ni lire ni écrire, elle devra subir les ordres d'une patronne autoritaire et maniaque. Cependant, le retour d'Eduardo, fils prodigue de la maison, va bouleverser son destin tout tracé.

LES TIROIRS DE MA MEMOIRE.webp

En entrant dans cette gare ce 31 mars 1956, qui aurait pu imaginer qu'un jour je me mettrais à l'écriture. Moi, fils d'immigrés espagnols que l'on avait arraché aux bras d'une grand-mère aimante ainsi qu'à une pauvreté presque miséreuse. Ce père qui m'emmenait dans un pays dont je ne connaissais ni la langue ni les coutumes. Me faire quitter ces rues en terre battue poussiéreuses mais remplies de soleil pour des rues pavées froides et humides.
Ce père qui s'était laissé emporter dans ce tourbillon d'immigrés à la recherche d'une vie meilleure en emportant avec lui femme et enfants, les arrachant à ce quartier de Barcelone où la misère était de mise. Ce père autoritaire, obstiné, contradictoire, entêté, qui manquait d'amour et d'humour et une mère qui était capable de vous faire croire que vous étiez la huitième merveille du monde pour quelques pièces de monnaie.
Je suis allé fouiller au plus profond des tiroirs de ma mémoire à la recherche de ce petit garçon, qui cherche toujours la définition du mot famille tendresse et amour.

bottom of page