Anne-Marie QUINTARD
Ardéchoise depuis plus de 30 ans, après une carrière managériale au sein de la caisse d'épargne, je me laisse bercer par les mots. J'écris, je lis, je chronique et j'anime des ateliers d'écriture et préside deux prix littéraires par an. Mon énergie et ma créativité me propulsent sur les routes du Nord au Sud à la rencontre de la jeunesse ou des adultes.
Retrouvez toutes les informations sur https://annemariequintard.fr/
L’instinct de survie est plus fort que tout
Au petit matin, la gendarmerie vient arrêter Julie dans ce hameau isolé du plateau du Coiron en Ardèche.
À ses dix ans, le monde de Julie a basculé après le suicide de son père et elle en ressent toujours une certaine culpabilité. Avec sa mère devenue grabataire à la suite d’un tragique accident de tracteur, les liens sont complexes. Julie n’a d’autres choix que de porter seule la ferme familiale tout en étant présente au chevet de sa mère.
Le charismatique Paul fait chavirer le coeur de Julie. L’aidera-t-il à devenir une femme libre ? Pourra-t-elle se créer une nouvelle vie ?
Un thriller psychologique au contact d’une nature puissante et authentique.
UN CONTE GRADUEL À DEUX LECTURES
Une pour maman : endormir bébé.
Une pour toi: découvrir ton chat et apprendre le son CHE.
Un doux parfum qui véhicule des émotions enfantines de tendresse dans une atmosphère où chacun est heureux de se retrouver avec néanmoins des visées pédagogiques d’apprentissage.
– Une famille élargie
– Un animal de compagnie
– Des peurs enfantines
– Manger proprement
Fin XIIe siècle, les villages s'émancipent de la tutelle seigneuriale en obtenant des franchises et des privilèges. Une invasion de barbares met fin à la paix relative de cette région de Ventaben.
Pillage et violences déferlent sur les collines environnantes.
Rolande Gaudeline De Borde est seule sur ses terres, son mari, le fils de l'ours est lieutenant du roi, et chargé d'établir l'ordre dans d'autres territoires du royaume de France.
La mort dans l'âme, cette jeune femme doit en compagnie de quelques villageois abandonner son château et la terre de ses ancêtres afin de se mettre à l'abri chez son cousin le comte de Guelahor.
La jeune femme attend un bébé. Le voyage est périlleux, mais Brune est à ses côtés.
Protection, neutralité ou alliés des anglais. Qui fait quoi ? Les temps sont troubles, Brigands, traîtres et sorcières accompagneront nos voyageurs ...
Nous retrouvons dans ce bestiaire les mêmes personnages épris de liberté et de justice, une guêpes asiatique quitte ses parents et prend l'avion avec son amoureux.
Miette a neuf ans quand son père meurt d’alcoolisme et de désespoir, après la disparition tragique de l’un de ses jumeaux. Dès lors, sa mère réserve son affection au survivant, Réos, délaissant sa fille – sauf lorsqu’il s’agit de la battre ou de lui reprocher d’exister : là, Lilith sait se rappeler à son souvenir. Quant à Réos, il ne songe qu’à la violer.
Sauvée par les services sociaux, Miette semble trouver à l’adolescence le répit qu’on lui a toujours refusé. En épousant Boaz, elle croit être définitivement sortie du cauchemar. Mais n’est-elle pas plutôt tombée entre les griffes d’un nouveau manipulateur ? Il lui faudra toute la force de son caractère pour devenir enfin la femme debout que son parcours chaotique lui refusait d’être depuis la disparition du seul homme qu’elle ait jamais vraiment aimé : son père.
Le Visage lisse entraîne le lecteur dans un huis clos familial bouleversant, où Miette n’est pas la seule à être malmenée par le destin.
Louise est une elfette et comme toutes les petites fées, elle emmène son cheval dans la fôret. C'est bien dans cet endroit magique qu'elle risque de rencontrer un animal tout aussi féerique ...
Deux frères séparée, l'un a été élevé au Maroc, il quittera son village natal et toute sa culture pour cultiver du safran en Ardèche où habitent son jumeau et sa sœur. Deux cultures différentes. Miette dépasse toutes ses peurs et ose prendre la liberté après avoir été battue, elle se reconstruit en reprenant des études et en montant sa boite. Elle a adopté le fils d'une d'une religieuse bosniaque violés par un serbe lors de la guerre.
« Je m'appelle Olivier. J'ai quatorze ans et trois mois. J'habite à Maubeuge, car mon père y travaille. Dès ma naissance, la nature ma affublé d'une peau de serpent : eczéma et démangeaisons sont mon lot presque quotidien. Seul le soleil pouvait me faire renaître, redevenir l'enfant plein de promesses que j'étais. Mais à Maubeuge, l'astre solaire est souvent bien discret. « Tout allait à peu près bien jusqu'à mon entrée au collège. Là, quolibets et moqueries m'ont enfermé dans un désespoir que je peinais à contrôler. Persiflage et humiliations me faisaient glisser vers un monde où la Vie et la Mort se côtoyaient. Et que dire des filles ? « Mais un jour, nous avons déménagé près de Montpellier » Ce roman plein de délicatesse pointe du doigt les injustices liées au regard des autres, à la maladie. Sans être larmoyant, il nous fait comprendre combien il est difficile de se construire lorsque tout autour de soi nous rappelle notre différence.
Loin des tranchées mais en zone occupée, on retrouve dans ce roman, le portrait de femmes fortes courageuses qui traversent vaillamment les années bouleversées de la première moitié du XXème siècle.
La femme qui voulait crever les nuages est une intrigue palpitante avec aventure, suspense, manipulation, expériences scientifiques. Condamné à perpétuité, Vittorio Zecchi s'est fait la belle. On y retrouve l'enquêteur fétiche Thorgall lieutenant-colonnel de gendarmerie muté à Annonay. Le Moscou Paris peut-il se concevoir en Chine ou en Russie (entièrement relu par un météorologue) ?